Bonjour ! Comment ça va ? Votre Mot du Milieu est là. Des mots d’information et de l’édification dans un monde trop chargé et trop obscur.  

Dimanche nous avons continué notre chemin en Marc au chapitre 14.  Récemment nous avons entré dans le récit des évènements autour de l’arrestation et mort de Jésus. Donc maintenant nos passages deviennent un peu plus longs avec des survols. Mais notre survol dimanche nous a montré que 2000 ans plus tard, il n’y a pas grandes choses qui ont changé par rapport à la résistance qui peut s’opposer à Jésus et les siens.

Lorsqu’il y a une forte résistance à Jésus et à son plan, on trouvera des attaques contre…

I.                    La véracité de ses paroles.

55 Les chefs des prêtres et tout le sanhédrincherchaient un témoignage contre Jésus pour le faire mourir, et ils n’en trouvaient pas. 56 Beaucoup rendaient en effet de faux témoignages contre lui, mais les témoignages n’étaient pas concordants. 57 Quelques-uns se levèrent et portèrent un faux témoignage contre lui en disant: 58 «Nous l’avons entendu dire: ‘Je détruirai ce temple fait par la main de l’homme, et en trois jours j’en construirai un autre qui ne sera pas fait de main d’homme.’» 59 Même sur ce point-là, leurs témoignages ne concordaient pas.

Aujourd’hui on fait la même chose. Des sceptiques ou même ceux qui sont opposés à Jésus vont essayer de changer ou tordre ses mots.  C’est une stratégie qui a fonctionné dès le début de l’humanité !   Il y au moins 2 dangers grave, lorsque quelqu’un n’appuie pas sur la vérité et la véracité des mots de Jésus. Soit le doute s’installe et notre foi s’affaiblit.  Soit la parole de Dieu devient moins importante ou moins pressante dans nos vies.

Lorsqu’il y a une forte résistance à Jésus et à son plan, on trouvera des attaques contre…

II.                  La vérité de sa personne.

60 Alors le grand-prêtre se leva au milieu de l’assemblée et interrogea Jésus en disant: «Ne réponds-tu rien? Pourquoi ces gens témoignent-ils contre toi?» 61 Mais Jésus gardait le silence et ne répondit rien.  62 Jésus répondit: «Je le suis. Et vous verrez le Fils de l’homme assis à la droite du Tout-Puissant et venant sur les nuées du ciel
63 Alors le grand-prêtre déchira ses vêtements et dit: «Qu’avons-nous encore besoin de témoins? 64 Vous avez entendu le blasphème. Qu’en pensez-vous?» Tous le condamnèrent, déclarant qu’il méritait la mort. 65 Quelques-uns se mirent à cracher sur lui, à lui mettre un voile sur le visage et à le frapper à coups de poing en lui disant: «Devine!» Même les serviteurs le frappaient en lui donnant des gifles.

Jésus n’a laissé aucun doute sur sa personne ici ET il disait qu’ils allaient être redevables pour leurs actions et attitudes.  N’est-ce pas intéressant que lorsqu’il s’agissait des mensonges et faux témoignages, Jésus a gardé la bouche ferme. Mais quand il s’agissait de la vérité de sa personne, il ne voulait qu’aucune personne rate la simple vérité de qui il était.  Que ça soit à ce moment-là ou aujourd’hui, ce qui compte c’est ce que l’on fait avec cette déclaration profonde de Jésus Christ.

Lorsqu’il y a une forte résistance à Jésus et son plan, on trouvera la menace d’une

III.                Violence de la pression.

66 Pendant que Pierre était en bas dans la cour, une des servantes du grand-prêtre arriva. 67 Elle vit Pierre qui se chauffait, le regarda et lui dit: «Toi aussi, tu étais avec Jésus de Nazareth.» 68 Il le nia en disant: «Je ne sais ni ne comprends ce que tu veux dire.»  Puis il est sorti pour aller dans le vestibule. Alors un coq chanta. 69 La servante le vit et se mit à dire de nouveau à ceux qui étaient présents: «Il fait partie de ces gens-là.» Il le nia de nouveau. 70 Peu après, ceux qui étaient présents dirent encore à Pierre: «Certainement, tu fais partie de ces gens-là, car tu es galiléen, tu as le même langage.» 71 Alors il se mit à jurer en lançant des malédictions: «Je ne connais pas cet homme dont vous parlez.» 72 Aussitôt, pour la seconde fois, un coq chanta. Pierre se souvint alors de ce que Jésus lui avait dit: «Avant que le coq chante deux fois, tu me renieras trois fois.» Et en y réfléchissant, il pleurait.

La pression de l’atmosphère était violente. Malheureusement Pierre aussi est devenu violent avec son attitude et ses paroles.  L’ennemi aimerait bien voir des disciples tombent dans le piège de nier Jésus dans la peur des accusations.  Heureusement pour Pierre (et pour nous) la miséricorde de Dieu est puissante car elle est basée sur son amour pour nous.


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