Dimanche nous avons commencé le chapitre 10 de Marc dans notre série TRACES.
Lorsqu’il s’agit de Dieu et de l’humanité, il y a certaines choses que nous devons comprendre pour mieux vivre.
I. Ce que Dieu permet ce n’est pas toujours ce que Dieu voudrait.
2 Les pharisiens l’abordèrent et, pour lui tendre un piège, ils lui demandèrent s’il est permis à un homme de divorcer de sa femme. 3 Il leur répondit: «Que vous a prescrit Moïse?» 4 «Moïse, dirent-ils, nous a permis d’écrire une lettre de divorce et de renvoyer notre femme.» 5 Jésus leur dit: «C’est à cause de la dureté de votre cœur que Moïse vous a donné cette règle.
Ce n’est pas un mystère que Dieu n’aime pas le divorce. Pourquoi donc Dieu a donné une exception, une justification pour le divorce ? Tout simplement parce qu’il savait que parfois 2 êtres humains, brisés par le péché ne peuvent pas habiter ensemble. Parfois un couple est formé quand ce n’était pas une bonne idée. Dans ce cas, il fallait l’opportunité pour recommencer. Que l’échec de la première relation ne soit pas la source de ruine totale pour quelqu’un.
Donc après cette notion de ce que Dieu permet et voudrait voir. Que voudrait Dieu voir ?
II. L’unité et pas de la division.
6 Mais au commencement de la création, Dieu a fait l’homme et la femme; 7 c’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère et s’attachera à sa femme, 8 et les deux ne feront qu’un. Ainsi, ils ne sont plus deux mais ne font qu’un. 9 Que l’homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni.»
Quand il dit « Que l’homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni.» Il met en garde notre tendance de minimaliser quelque chose de sacrer et précieuse. Oui il a permis le divorce, mais ce n’était jamais son désir car Dieu veut bénir le mariage pour sa gloire et notre paix.
III. L’intimité et pas de la confusion.
10 Lorsqu’ils furent dans la maison, les disciples l’interrogèrent encore là-dessus. 11 Il leur dit: «Celui qui renvoie sa femme et qui en épouse une autre commet un adultère envers elle, 12 et si une femme divorce de son mari et en épouse un autre, elle commet un adultère.»
On a un peuple qui était censé comprendre la volonté de Dieu. Un peuple qui devait comprendre et communiquer certaines attentes de Dieu. L’implication étant qu’ils devaient montrer au monde l’exemple de Dieu à ceux qui ne connaissent pas Dieu. Malheureusement l’exemple qu’ils montraient au monde ne reflétait pas cette gloire.
IV. L’humilité et pas de la dérision.
13 Des gens lui amenaient des petits enfants afin qu’il les touche, mais les disciples leur firent des reproches. 14 Voyant cela, Jésus fut indigné et leur dit: «Laissez les petits enfants venir à moi et ne les en empêchez pas, car le royaume de Dieu est pour ceux qui leur ressemblent. 15 Je vous le dis en vérité: celui qui n’accueille pas le royaume de Dieu comme un petit enfant n’y entrera pas.» 16 Puis il les prit dans ses bras et les bénit en posant les mains sur eux.
Dérision : Qui est insignifiant, minime, au point négligeable
Les disciples agissaient comme si la présence des enfants était un problème. Ils ont oublié la leçon que Jésus leur a donné il n’y a pas longtemps au chapitre 9.
36 Il prit un petit enfant, le plaça au milieu d’eux et, après l’avoir pris dans ses bras, il leur dit: 37 «Celui qui accueille en mon nom un de ces petits enfants, c’est moi-même qu’il accueille, et celui qui m’accueille, ce n’est pas moi qu’il accueille, mais celui qui m’a envoyé.»
La fois d’enfant ne connait pas trop de limites. La foi d’un enfant n’est pas encore jadis et faible et boiteuse. Que notre foi reste toujours puissante, mais simple. Ouverte, mais infantile.
Comments are closed