Bonjour ! J’espère que vous allez bien. Il est temps pour ceux qui lisent le Mot du Milieu de se réveiller. Etant le mercredi, il est temps pour une petite mise à jour afin de rester connecter à l’Eglise BB. Il s’agit de quelques mots du milieu de la semaine, du milieu d’une vie trop chargée.
Puisque nous suivons verset par verset l’Evangile de Marc, on s’est trouvé encore dans le chapitre 14 de Marc, où nous avons découvert des leçons importantes.
Dans un monde difficile à naviguer…
I. Il faut lui faire confiance. (Vs 12-16)
12 Le premier jour des pains sans levain, où l’on sacrifiait l’agneau pascal, les disciples de Jésus lui dirent: «Où veux-tu que nous allions te préparer le repas de la Pâque?» 13 Il envoya deux de ses disciples et leur dit: «Allez à la ville. Vous rencontrerez un homme qui porte une cruche d’eau: suivez-le. 14 Là où il entrera, dites au propriétaire de la maison: ‘Le maître dit: Où est la salle où je mangerai la Pâque avec mes disciples?’ 15 Alors il vous montrera une grande chambre à l’étage, aménagée et toute prête: c’est là que vous nous préparerez la Pâque.» 16 Ses disciples partirent, arrivèrent à la ville et trouvèrent tout comme il le leur avait dit, et ils préparèrent la Pâque.
Dans ce passage il n’y a pas des leçons profondes de théologie. Il n’y aura pas de révélation du ciel ou une formule pour décortiquer des mystères du monde. Ce que nous verrons c’est pas mal de détails qui nous aideront à apprendre tout de même de Jésus Christ et ses attentes pour un disciple. Même si Jésus a demandé quelque chose d’improbable et incompréhensible, il a tout de même demandé de la confiance.
Et ceux qui disent confiance disent obéissance.
Dans un monde difficile à naviguer…
II. Il faut accepter la souffrance. (Vs 17-26)
17 Le soir venu, il s’y rendit avec les douze. 18 Pendant qu’ils étaient à table et qu’ils mangeaient, Jésus dit: «Je vous le dis en vérité, l’un de vous, qui mange avec moi, me trahira.» 19 Ils devinrent tout tristes et lui dirent l’un après l’autre: «Est-ce moi?» 20 Il leur répondit: «C’est l’un des douze, celui qui met la main dans le plat avec moi. 21 Le Fils de l’homme s’en va conformément à ce qui est écrit à son sujet, mais malheur à l’homme par qui le Fils de l’homme est trahi! Mieux vaudrait pour cet homme qu’il ne soit pas né.»
Parfois il faut gouter la souffrance de la trahison. Jésus a compris que cela faisait partie de son histoire de rédemption et parfois on doit en gouter aussi. Continuons cette notion de la souffrance.
22 Pendant qu’ils mangeaient, Jésus prit du pain et, après avoir prononcé la prière de bénédiction, il le rompit et le leur donna en disant: «Prenez, mangez, ceci est mon corps.» 23 Il prit ensuite une coupe et, après avoir remercié Dieu, il la leur donna et ils en burent tous. 24 Il leur dit: «Ceci est mon sang, le sang de la nouvelle alliance, qui est versé pour beaucoup. 25 Je vous le dis en vérité, je ne boirai plus jamais du fruit de la vigne, jusqu’au jour où je le boirai nouveau dans le royaume de Dieu.» 26 Après avoir chanté les psaumes, ils se rendirent au mont des Oliviers.
Jésus voulait que l’on comprenne que tout allait changer. Mais il y avait un prix terrible, celui de sa souffrance. Sa chair brisée, son sang versé. Heureusement IL a souffert à notre place. Il a payé ce prix.
III. Il faut comprendre l’appartenance.
27 Jésus leur dit: «Vous trébucherez tous, cette nuit, à cause de moi, car il est écrit: Je frapperai le berger, et les brebis seront dispersées. 28 Mais, après ma résurrection, je vous précéderai en Galilée.» 29 Pierre lui dit: «Même si tous trébuchent, ce ne sera pas mon cas.» 30 Jésus lui dit: «Je te le dis en vérité, aujourd’hui, cette nuit même, avant que le coq chante [deux fois], toi, tu me renieras trois fois.» 31 Mais Pierre reprit plus fortement: «Même s’il me faut mourir avec toi, je ne te renierai pas.» Et tous dirent la même chose.
Oui ils allaient tous abandonner Jésus. Mais pour Jésus ça ne changeait pas la vérité qu’ils lui appartenaient. « Après ma résurrection, je VOUS précéderai ! » Quelle phrase remplie d’espoir et d’amour. Le berger allait récupérer ces brebis !
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